Ile de Florés… je vous mets au parfum

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 Vous dire que j’ai vécu pleinement notre découverte de Florès, une des 13 000 îles d’Indonésie, ce serait exagéré. Oui, carrément exagéré.

Pour la seconde fois en 365 jours de voyage en Asie, nous avons été frappés par la dengue. Nous avons donc dû écourter notre séjour sur cette île de la Sonde, les médecins de notre compagnie d’assurance ne sachant pas ce que nous avions, dengue, malaria ou typhoïde, ils ont jugé la situation assez grave pour affrêter un avion et nous rapatrier vers Bali.

Du coup, malheureusement je ne suis restée que 3 jours sur l’île. J’ai tout  juste eu le temps de passer une belle journée de snorkelling, puis d’aller d’un village à l’autre par la seule route de l’île, entre volcans et forêt tropicale pour rejoindre d’urgence l’aéroport de Labuanbajo. 360 km en 3 jours, à raison de 5 h de voiture par jour, ça vous donne une idée.

Florès m’a semblé être une île sauvage, avec des paysages magnifiques, des volcans impressionnants, des noix de cajou séchant au bord des routes, des forêts de bambous géants. Un paysage très sauvage avec des infrastructures très basiques. Nous devions chercher un bateau pour rentrer en 5 jours tranquillement vers Bali par la mer, passer voir les dragons de Komodo, l’île de Sumbawa, Lombok, les gilis. Ce sera pour une autre fois!

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Dans la voiture venue nous chercher lors de notre rapatriement sanitaire vers Bali, il y avait des paquets de bâtons de vanille accrochée à toutes les aérations. Là je me suis dit:  je pense que je suis passée à côté d’un truc canon sur cette île! J’avais jamais rien vu de plus écolo que ça comme parfum d’ambiance et vu le prix de la gousse de vanille en France, ce n’était même pas imaginable.

Ok, ma photo, n’est pas terrible, un peu floue et d’une créativité limitée. Peut-être pourriez-vous la considérer  comme une photo témoignage, une photo documentaire?

En attendant que fasse le montage de ma vidéo que j’espère publier bientôt sur le blog de voyage 365 days in paradise, je vous remercie pour votre lecture,

Bises à tous et à bientôt,

Miss No Gluten

Pour plus d’infos sur nos 365 days in paradise, c’est par ici

Gluten-free à Deus, Bali

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Deus ex machina – temple de l’enthousiasme – est un concept store  comme je les aime qui réunit les passions de celui qui l’a créé: le surf, la moto, la musique, galerie d’art et restau. L’endroit est cool. On peut visiter les ateliers où sont fabriqués les motos, les surfs et cerise on the top, au restau, on choisit son pain, il y a du pain sans gluten et en plus, il est super bon.

Le mardi soir c’est musique et tattoos gratos, le dimanche concerts live, des nattes en palmiers sont déroulées sur le gazon épais, des guirlandes de lumières déployées ça et là, des chandeliers. Bref, Deus le temple de l’enthousiasme, est un endroit cool, où on se sent bien.

Lorsque nous avons commencé notre voyage de un an en Asie il y a 10 mois, ma première vidéo était sur Deus. Allez, petite visite on the rock!

Le fruit serpent

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Voilà un fruit qu’on transformerait bien en sac…ou en ceinture.

Sa peau ressemble à celle du serpent, en moins froide, sa forme à la figue est plus grosse, l’intérieur est composé de gousses qui ont la consistance de l’ail et ses noyaux sont durs, marrons et plutôt ronds, un peu comme des noisettes mais en plus gros et plus brillants. Ce fruit ne ressemble à aucun autre que je ne connaisse et je n’ai pas le souvenir d’en avoir croisés sur nos marchés même les plus exotiques

J’aime bien ce fruit mais pour vous mettre dans la confidence, je suis la seule de la famille à l’apprécier.

J’aime lui ôter sa peau qui ressemble à des écailles, j’aime croquer dedans, il est dur et croquant et j’aime son goût si particulier qui ne ressemble qu’à lui même, peu sucré, doux et très très légèrement amère.

Il s’appelle le salak, ce qui signifie le «fruit serpent» et il provient d’un petit palmier épineux. On le trouverai en Thaïlande, en Malaisie et en Indonésie. Je n’en ai vu qu’en Indonésie.

Et vous, avez-vous déjà goûté ce fruit? En avez-vous trouvé en France?

Power bonheur! [from Bali]

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Ces petits riens qui ont boosté mon plaisir aujourd’hui…

1. De délicieux fruits du dragon [pitaya] bien frais, achetés hier au bord de la route qui mène à Uluwatu à une gentille balinaise qui ne parlait pas l’anglais. Elle nous montrait un billet pour nous indiquer le prix, nous on lui en montrait un autre pour négocier à la baisse. Ca l’a beaucoup amusé!

2. Du chocolat bio balinais de Balangan: amandes, choco à 88% sur une couche de noix de coco grillée et râpée. Un pur bonheur!

3. la découverte de la revue Happinez, c’est le N°2, mars/ avril 2014, certainement  laissé par un locataire français nous ayant précédé de peu [merci, vous faites une heureuse!]. Un magazine « féminin/ positif/ inspirant. J’ai pas tout lu, mais pour l’instant, génial!

4. article à lire: un petit pas peu changer votre vie… je n’en doute pas et j’ai hate de le lire, en croquant dans le chocolat [n°2] et en buvant un thé vert mangue/vanille (n°5) que j’ai rapporté d’Inde. Zen.

5. Pour finir, j’ai téléchargé hier le dernier livre de Florence Servan-Schreiber, « Power Patate » que je dévore. « Détectez vos super pouvoirs et utilisez-les » un livre de psychologie positive. Le livre commence par cette citation:

« On a deux vies, la seconde commence quand on se rend compte qu’on en a qu’une. » Confucius

A vous de découvrir le reste!

powerpatate

Pour commander le livre papier ou le télécharger, c’est par là juste dessous!

Psychologie positive on en redemande!

Si vous ne l’avez pas encore lu, du même auteur: je l’ai lu à sa sortie il y a 2 ans, ce livre est un booster, vous n’en sortirez pas indemne…de bonheur! Foncez!!!
* 3 kifs par jour (et autres

* L’apprentissage du bonheur de Tahal Ben Shahar

Je l’ai lu il y a deux ans, juste après 3 kifs par jour, qui me l’a fait découvrir. Ce que je peux en dire? C’est un petit livre de poche dont le prix est ridiculement bas par rapport au bénéfice qu’il vous apportera. J’ai lu, j’ai fait, j’ai réalisé! Vous avez dit Bonheur?

Ma première Kindle n’avait pas d’écran éclairé, ça limite les moments de lecture. Pour mon anniversaire j’ai eu le bonheur de recevoir la Kindle paper white. Le pied! Je peux lire partout au soleil sur la plage, dans le train de nuit, au lit sans avoir besoin de lampe de chevet (c’est pas leur fort en Asie les lampes de chevet qui éclairent!). Un bijou de technologie qui nous permet de partager tous les 4 (mon mari, mes deux filles et moi) la même bibliothèque et de lire parfois le même livre en même temps comme par Power Patate, et d’en parler. Sympa.

On est accros à nos Kindle! Vous n’en avez pas encore une? Renseignez-vous c’est vraiment génial, vous transportez en permanence toute votre bibliothèque. J’ai des romans, des livres de développement personnels, des livres de cuisine, de marketing, et je passe de l’un à l’autre où que je sois sur la planète. J’ai téléchargé des livres, des extraits pour être sûre d’avoir envie de lire, j’en ai renvoyé aussi. C’est souple et vraiment pratique.

Etre à Bali et manger sainement…enfin!

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salade de choux et d’avocat à l’huile d’olive toute simple

Me voilà à Bali, oui, encore Bali, car j’aime tout particulièrement cette île, surtout à cette période. Aller à Bali au mois d’Avril c’est comme visiter l’Europe en Juin ou en Septembre. Il fait beau, il fait même chaud (31°C) mais ce n’est pas la très haute saison. On peut donc négocier les prix, aller dans de super endroits difficilement accessibles en pleine saison et circuler également plus facilement.

Après presque un mois et demi en Inde où il fut assez compliqué de m’alimenter, je goûte au plaisir de faire le marché, de préparer les repas et de manger des salades et même… de mettre du fromage dans mes salades.

En Inde, à moins d’avoir un système gastrique digne d’un sanibroyeur, il vaut mieux faire attention à ce que l’on mange. Au début du séjour ce fut compliqué. Je m’alimentais de chapatis me disant qu’au moins, je ne choperai pas d’amibes ou autres réjouissances que vous réservent l’Inde.  J’ai donc commencé à gonfler, gonfler, gonfler associé à mes douleurs habituelles dûes au gluten, j’ai dû changer ma stratégie alimentaire. Je me suis rabattue sur le riz au cumin le midi, et la raita, un yaourt au légumes le soir. Ce n’est que le jour où nous avons été invités  à Jaipur dans un endroit très chicos que je me suis dit « waouw des tomates mozza, ici je peux relâcher ma parano alimentaire, je suis en terrain sûr ». J’ai passé la journée suivante au lit à me maudire.

Ici à Bali, je n’hésite pas à acheter des Satay (brochettes grillées) dans la rue, à manger des légumes, des fruits et bonheur de l’île à boire de délicieux jus de fruits, passion, mangue, banane, goyave qui me transportent de bonheur. Le pied, quel sentiment de liberté je ressens ici!

Vraiment, j’aime Bali!